marți, 4 septembrie 2012

Ciclul Milankovtch

 http://secretebase.free.fr/cycle/lecycle/lecycle.htm

     O sa  copiez  textul  integral,sperand  ca  voi  gasi  timp  sa  traduc  cateva fragmente  .
...poate...poate.....

Le niveau des océans se situait à environ 300m au dessus du niveau actuel il y a 95 millions d'années.
Il était à 600m au dessus du niveau actuel il y a 450 millions d'années.
Il y a 18 000 ans, pendant la dernière glaciation, il est descendu 100m en dessous du niveau actuel.

L'activité humaine contribue à ce réchauffement localement, mais le réchauffement se produira quand-même avec où sans l'homme car ils sont issus de cycles naturels bien connu de certaines civilisations. Ces informations sont disponibles sur le site de la NASA mais les médias ne mentionnent pas (ou peu) ces faits d'importance capitale.

Une fonte complète des calottes glaciaires entraînerait une montée d'environ 80 mètres
.
Milankovitch montra que les caractéristiques de l'orbite terrestre, et l'orientation de l'axe de la terre pouvaient changer avec le temps, en affectant le climat. Sur une période d'environ 100.000 ans, la forme de l'orbite terrestre passe graduellement d'un cercle à une ellipse.

Milankovitch calcula que l'angle d'inclinaison de la Terre varie entre 22.5° et 24.5° avec un périodicité de 41.000 ans. A l'heure actuelle, cet angle est de 23.5°. L'axe de la Terre précesse sur une période d'environ 25.000 ans. La précession influe sur la durée des saisons.
.
L'Egypte ancienne ainsi que d'autres cultures bien plus anciennes, ont remarqué ce phénomène de la précession des équinoxes. Ainsi, tous les 2160 ans environ, au matin de l'équinoxe du printemps, le lever du SOLEIL se produit sous différents signes du ZODIAQUE selon l'époque (Astrologique et religieuse). Cela est dû au lent mouvement angulaire que la terre maintient lors de la rotation sur son axe. On le qualifie de "précession" car les constellations vont dans le sens inverse au lieu de réaliser un cycleannuel normal. Le temps nécessaire pour parcourir les 12 signes est de 25.765 années environ. On l'apelle aussi la "Grande Année".

Les anciennes civilisations attribuaient à chaque période de 2150 ans une époque. Ainsi de 4300 ans avant J-C à l'an 2150 avant J-C se trouvait l'âge du Taureau, signe du Taureau. De l'an 2150 avant J-C à l'an 1 de notre ère, c'est lâge du Bélier, sous le signe du Bélier. Puis de l'an 1 à l'an 2150 c'est l'âge du poisson, époque dans laquelle nous sommesde nos jours. Aux alentours de 2150 nous entrerons dans une nouvelle ère : l'âge du Verseau. La Bible reflète de façon générale le mouvement symbolique à travers 3 âges tandis qu'elle annonce leur ordre.
.
En extrapolant, à partir des calculs de Milankovitch, la valeur de l'insolation sur les 250000 dernières années, les scientifiques ont réussi à corréler les variations de température à la surface de la Terre avec les trois cycles décrits dans ce document. On a donc, grâce à Milutin Milankovitch, réussi à déterminer les causes des changements climatiques passés.

Toujours d'après ses calculs, les climatologues ont pu prévoir les changements climatiques à long terme: quelque soit le réchauffement occasionné par l’activité humaine, la Terre devrait connaître une nouvelle glaciation dans 20000 ans et ce jusque dans 60000 ans, et la période froide que subit la Terre depuis l'arrivée, au Miocène, de l'Antarctique en position polaire, prendra fin dans 2 millions d'années selon A.Berger. Par ailleurs, les cycles de Milankovitch existent probablement sur d’autres planètes que la Terre (cela est prouvé pour Mars).
.
Loin d'être nouvelles, les causes de ces cycles étaient parfaitement connues depuis la Grèce antique. Elles furent décrite très précisément par Platon et enseignées dans plusieurs écoles de l'époque. À une époque de notre ancienne histoire, tous les habitants de la planète connaissaient l'importance de ces cycles et beaucoup en connaissait le fonctionnement.

Ce savoir et l'échange populaire étaient une constante préoccupation, car s'il permettait aux agriculteurs de prévoir les périodes de pluies et de sécheresses, il permettait au peuple en entier de déterminer à l'avance la venue des grandes crises géoclimatiques qui bouleversaient tant les sociétés.

Un savoir qui pouvait aussi devenir une arme de guerre et de contrôle de la population, l'oligarchie de l'époque le comprit rapidement. Réfugié sous le nom de pratiques païennes, puisque contraire à la doctrine officielle, la pratique populaire en fut totalement interdite sous peine de mort.

Assujetti à l'impérialisme occidental, tous les pays de l'ouest furent des utilisateurs consciencieux de ce savoir au cours des deux derniers millénaires. Loin de la réaction émotive, la planification des activités guerrières est au contraire clairement dessinée et coordonnée en fonction de l'atteinte d'un objectif très précis, la domination du monde. Véritable cabale assise au sommet d'une fortune colossale, cet assortiment de puissants richards semble bien être à la veille d'y parvenir.

Nous savons actuellement que la Terre a subi plus de vingt périodes de glaciations alternées avec des périodes de réchauffements. Durant ces longues périodes glaciaires, on sait que l'Europe du Nord et l'Amérique du Nord étaient recouverts de couches de glace pouvant atteindre parfois plus de 3000 mètres d'épaisseur.

La terre, tout comme le soleil possèdent et subissent des cycles qui leurs sont propres. Des cycles qui sont peu de chose à l’échelle humaine mais qui ont de fois en fois de l’influence sur notre qualité de vie. Un de ces cycles possède une fréquence de 396 ans. Et, à tous les 13 cycles de ce 396 ans pour diverses raisons, la terre entre dans un cycle plus sévère de conséquence. Ces 13 périodes de 396 années donnent un total de ~5126 ans.

Ce supercycle de ~ 5126 ans n’est pas constant, lui-même inscrit à l’intérieur d’un autre cycle qui est de la même durée que la précession des orbites soit 25.900 ans et dont le maximum aurait eu lieu il y a 10256 ans. Les cycles subséquents incluant celui de 2012 sont le déclin de ce maximum et celui ci est probablement le dernier pour un moment.

La quasi-totalité des grandes périodes de la terre et des sociétés de l’homme analysé s’harmonisent avec ce cycle de 396 ans. Les calendriers Maya confirment ce cycle déstructeur, mais il est présent dans toutes les cultures. tout n'est que ZODIAQUE (le cercle) et CYCLE dans les religions et les croyances.

Puis le déluge revint et celui qu’on appelait Marduk, Apep, Seth, Typhon, Némésis, Shiva, Gung-gung, La grande Noire, Le Dragon Rouge, Le grand Phœnix, Yahweh, Quetzalcoatl, Lucifer, Wormwood, Étoile Bleue, Étoile Rouge, Fier Messager, Grande Étoile, Grande Comète, La Comète du Jugement Dernier, The Day of the Lord, Le Jugement Dernier, Le Perturbateur, l’Intrus, Christos, l’Invité Céleste, Nibiru, revint encore une fois imposer son cycle à la terre et aux hommes ...

La période glacière (le Pléistocène)
Elle laissa sur la planète des pôles de glace beaucoup plus importants qu’ils ne le sont aujourd’hui. La glace recouvrait la quasi-totalité de l’hémisphère nord et de l’hémisphère sud, ne laissant que l’équateur et autres endroits épars. La dernière période glaciaire s’est étalée de 110.000 av. J.C. à 13.000 av. J.C.

La période Terra Incognita
Identifiée ainsi à cause de son impact très important sur le développement des générations mégalithiques et modernes jusqu’à nous. Cette période débuta en 13426 avant JC pour se terminer en 8280 avant JC. C'est durant cette période que des civilisations et des continents auraient disparus: Atlantide, Mû, Malaysia, etc..

La période mégalithique
La génération d’avant nous, celle des dolmens et des pyramides. D’une durée de 5146 ans elle aussi, elle débuta en -8280 av. J.C. et se termina en -3134 av. J.C.

La période de l' Après Déluge
La période moderne. Elle comprend tout ce qui s’est produit depuis le dernier déluge jusqu’à ce jour. Elle débuta en 3134 av. J.C et se terminera en 2012.

Avant 11 000 ans on pouvait traverser la Manche à pieds sur la banquise gelée et rejoindre la France ou la Belgique depuis l'Angleterre. Mais de nombreuses terres côtières habitées en Belgique, Hollande, Allemagne, Danemark, côtes méditerranéennes, Espagne, Italie, Grèce, Turquie, Egypte, Libye, Golfe Persique (avec Mésopotamie), Inde, Pakistan, Chine, Philippines, etc. se sont non seulement retrouvées submergées mais ont en plus subi de plein fouet tous les phénomènes climatiques naturels comme tempêtes, cyclones et raz de marées liées aux phénomènes du grand déluge universel.

Il n'y aurait donc pas eu une catastrophe, mais plusieurs grands déluges accompagné de plusieurs séismes " même si leurs relations avec le dernier déluge n'apparaît que de manière indirecte ! C'est également ce qu'affirmait le vieux prêtre de Saïs au grec SOLON.
.
.
Le Pléistocène est l'époque géochronologique qui s'étend du début du Quaternaire, il y a environ 1,6 millions d'années à environ il y a 10.000 ans. Cette époque est caractérisée par une succession de changements climatiques brusques et de forte amplitude qui engendrèrent une alternance de périodes glaciaires et interglaciaires.

On a évalué que la glace couvrait par moments jusqu'à 30 % de la superficie des continents. La dernière glaciation du Pléistocène, celle du Würm (pour l'Eurasie) ou du Wisconsinien (pour l'Amérique du nord) a duré d'il y a ~110.000 ans à il y a ~13 000 ans, et atteint son extension maximale il y a environ 20.000 ans (Les spécialistes des paléoclimats situent le dernier maximum glaciaire entre -25.000 et -17.000 ans), époque à laquelle de vastes régions des latitudes hautes et moyennes étaient recouvertes de glace.
   C'est donc à cette époque (environ 20.000 ans) que s'est constituée la fameuse terrasse sous-marine de -110 mètres, profondeur maximale (pour le Quaternaire). Ce niveau -110 mètres a été retrouvé dans le monde entier (à quelques mètres près selon les régions). L'océan s'y est maintenu pendant plusieurs milliers d'années, comme le montre l'étude minutieuse du talus continental. C'est la grande époque du Pléniglaciaire, contemporain du Paléolithique supérieur, avec ses civilisations bien connues : le Moustérien, d'abord, puis l'Aurignacien, le Gravettien et le Solutréen.

Les masses glaciaires sont alors énormes, atteignant un volume total de près de 75.000.000 km³ contre 26.000 000.km³ de nos jours, soit quasiment trois fois moins. Cela signifie que les deux tiers des glaciers ont disparu depuis, et que parallèlement la remontée globale du niveau marin ait été de 110 mètres. L'emprisonnement de l'eau de mer sous forme de glace a entraîné une phase de régression marine, un abaissement du niveau des océans.

À l'inverse, les périodes interglaciaires ont été l'occasion d'épisodes de transgression, c'est-à-dire d'invasion des continents par l'eau de mer. Les côtes actuelles doivent leur aspect actuel à la dernière transgression, la transgression flandrienne il y a environ 10.000 ans. La fonte des glaces entraîna une élévation du niveau de la mer d'une centaine de mètres ou plus et donc l'inondation de vastes zones continentales.

A l'université de Stuttgart-Hohenheim, un professeur allemand s'est penché sur l'étude d'arbres vieux de plus de dix mille ans qu'il a repêché dans les nappes phréatiques d'anciennes gravières du Danube que les courants souterrains ont protégé des moisissures. Par l'étude des cernes contenus dans la coupe transversale de ces arbres, ce professeur a constaté une augmentation du deutérium et du carbone 13 coïncidant avec une élévation de la température de notre atmosphère de + 5 à + 7°C ce qui localise exactement la fin de la dernière ère glaciaire que le Professeur Becker situe en l'an -8975 avant JC.

Ce que confirme une autre méthode effectuée par l'opération GREENLAND ICE CORE PROJECT qui fore au Groenland dans une couche de glace dépassant 3100 mètres d'épaisseur afin d'y retirer des carottes-échantillons contenant les flocons de neige tombés depuis -120 000 ans ! Ces flocons de neige analysés au microscope électronique contiennent de minuscules bulles d'air qui nous racontent l'Histoire des températures tombées couche après couche, telles qu'on aurait pu les relever chaque année durant " les périodes des deux dernières glaciations ! "

Des carottes-échantillons de glace ont été envoyées au Professeur Bernard Stauffer de l'Université de Berne en Suisse où l'examen des échantillons au microscope électronique confirme une fonte brutale des neiges vers cette période de -9000 ans due à un brutal réchauffement de notre climat. Même si cette période de réchauffement n'a duré au maximum qu' une vingtaine d'années, cette fonte brutale des glaciers a par effet de serre, dégagé d'énormes condensations qui ont déclenché de véritables pluies diluviennes, provoquant avec la montée des mers et des rivières la mort de nombreuses vies. Comme nous le constatons ces deux méthodes indiquent pratiquement la même date.

-15000 ans
Un premier réchauffement (dit réchauffement solutréen) et première fonte des glaces. Parallèlement, quasi automatiquement, démarra une remontée du niveau de la mer, lente mais inexorable, qui grignota le talus continental jusque-là préservé des effets mécaniques de l'érosion marine. Ce fut aussi le début de l'exode pour les tribus qui vivaient paisiblement au bord de la mer, où ils trouvaient facilement leur nourriture grâce à la pêche de poissons et de petits crustacés.

-13500 ans
Alors que le niveau marin était à -80 mètres (ayant progressé de 30 mètres par rapport au niveau plancher), que se produisit une première débâcle, dite débâcle atlantique ou Déluge de Lascaux. La déglaciation s'accéléra soudainement avec l'éclatement définitif de la calotte glaciaire qui recouvrait tout le nord de l'Europe et qui bloquait surtout toute circulation maritime dans la mer du Nord que nous connaissons. Les glaciologues pensent que le plus gros de la débâcle eut lieu en moins d'un siècle, suite à une série de cataclysmes en chaîne (l'un alimentant le suivant). Le niveau de la mer augmenta alors de près de 20 mètres en quelques années seulement.

-11700 ans
Puis, la montée des eaux se ralentit. Le seuil de -68 mètres (appelé seuil des Dardanelles et qui séparait le lac de Marmara et la mer Égée) fut atteint. C'est alors que cette mer trouva provisoirement un exutoire naturel vers le nord-est, mais elle se trouva ensuite bloquée au seuil du Bosphore infranchissable avec son altitude de -38 mètres. L'ancien lac de Marmara doubla alors de surface, devenant une mer salée entourée de rives dévastées.

-10000 ans
Une longue période de stabilisation autour du niveau -55 mètres qui dura près de 3000 ans (entre -11000 et -8000 environ). Ce seuil est très identifiable sur tous les talus continentaux et il est même considéré comme un repère clé par les océanographes. Cette période d'accalmie, venant après plusieurs millénaires de tracas et d'insécurité permanente, fut mise à profit par les populations pour se fixer et se sédentariser puisque la superficie de leurs terres n'était plus constamment remise en cause par des modifications géographiques.

Avec la fin de la stabilisation à -55 mètres se termina le Tardiglaciaire, c'est-à-dire la deuxième grande phase de la déglaciation, qui a vu parallèlement l'éclosion de la civilisation magdalénienne et l'essor du Mésolithique. Ce fut l'entrée dans le Postglaciaire ou Holocène.

- 8000 ans
La mer recommença à monter lentement sur la Terre entière, et donc partout les transgressions marines entraînèrent des conséquences catastrophiques, notamment au niveau des dunes côtières qui furent souvent désintégrées. Cela tint en partie à une substantielle augmentation de la température (+ 4° en une dizaine de siècles) qui contribua à faire fondre, en plusieurs étapes, le grand glacier rescapé du maximum glaciaire qui occupait encore la Scandinavie et la Baltique. Cette fonte allait entraîner plus tard, en -6700, une véritable débâcle qui elle-même allait être la cause du seul déluge de très grande envergure dont on a gardé la trace.

- 7300 ans
Les océans atteignirent le fameuse cote de -38 mètres, celle du seuil du Bosphore. Cela signifie qu'à partir de cette époque (600 ans avant le Déluge), la mer Egée, qui avait déjà envahi le lac de Marmara à partir de -11.700, commença d'envahir progressivement le lac d'eau douce de la mer Noire, la salinisant petit à petit. Partout ce fut la débâcle, notamment dans la Manche dans laquelle l'Atlantique se fraya un passage de plus en plus large et sépara définitivement la France et l'Angleterre, jusque-là riverains d'un grand fleuve Seine qui se jetait alors dans l'Atlantique.

- 6700
C'est la période du déluge de Noé, la plus grande catastrophe terrestre recensée depuis 10.000 ans. C'est celle que les glaciologues appellent la bipartition associée à la grande débâcle du glacier scandinave. Pour la première fois depuis longtemps, les eaux froides de la mer du Nord rejoignent les eaux salées de l'Atlantique au large des Pays-Bas, pays entre tous menacé par l'océan, suite à un gigantesque raz-de-marée parti des côtes de Norvège.

Celui-ci est associé à la débâcle de la partie occidentale du glacier scandinave, qui représentait le quart de la masse totale et dont on a estimé le volume à 200.000 km³. C'est un nouveau passage ouvert d'une façon irréversible qui change tout l'environnement géographique, mais aussi culturel de la région.

C'est à cette époque que l 'ouverture du passage Manche / mer du Nord a eu lieu à l'autre extrémité de l'Europe. Plus à l'est, l'eau du glacier scandinave après avoir traversé une bonne partie de l'Europe, envahi la mer Noire ouverte au sud depuis peu et va se déverser pendant une année au moins dans la mer Egée qui s'en trouvera bouleversée.
.
.
Les calottes glaciaires agissent comme des contreforts, ou des freins, pour les glaciers. Elles maintiennent à distance l'air marin plus chaud et modèrent ainsi la fonte en surface des glaciers et la rupture des glaces. Depuis de nombreuses années, des cycles glaciaires se sont mis en place. Mais aujourd'hui, il s'agit d'une fonte accélérée. Si ce phénomène de fonte persiste, il aura, dans quelques années, des répercutions néfastes sur l'environnement liées à la hausse du niveau des océans.
.
.
Le réchauffement de la planète est indéniable et nous en vivons les conséquences quotitienement. L'augmentation du CO2 dans l'atmosphère est tout simplement dû au réchauffement de la planète. Le CO2 n'est donc pas la cause du réchauffement mais la conséquence. Quelque chose d'une envergure formidable prend-il place dans notre système solaire à 150 millions de kilomètres de la Terre?

Le soleil démontre plus d'activité depuis 1940 en terme d'éruptions solaires que dans les 1150 dernières années combinées et ceci n'affecte pas uniquement la Terre mais bien le système solaire en entier. On assiste donc à un réchaufement du système solaire et non à un simple réchauffement planétaire local...
.
.

Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la surface de la Terre et que des filles leur furent nées, " les fils de Dieu " (ou les Elohim - fils du ciel) virent que les filles des hommes étaient belles et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent . (Genèse Ch. 6).

Ces fils de Dieu font donc partie de la période avant le déluge. Selon la Bible ces êtres (qui ressemblaient aux humains) auraient créé une race d'hommes célèbres par leur force et leurs vertus! Hélas nous n'avons que peu de sources sur les périodes précédant le déluge, seul Platon nous apporte le témoignage du grec Solon qui a obtenu d'un chef des prêtres de Saïs quelques renseignements sur une ancienne civilisation : un royaume qui fut longtemps habité par des hommes " sages et bons" mais qui fut par la suite "envahi par la corruption " au point que de nombreuses personnes périrent noyées dans une guerre civile.

Cela fait immédiatement penser au grand déluge universel, mais le trou noir de 6000 ans entre le déluge et la nomination du premier ministre Imhotep en Egypte v. - 2750 n'excluent pas que d'autres catastrophes soient intervenues entre temps. La bible explique donc aussi les cycles de la terre à travers une histoire, comme c'était déjà le cas dans l'épopée de Gilgamesh, le premier ouvrage pour l'humanité ...