sâmbătă, 29 octombrie 2011

SCRUPULELE LUI EPICUR

  Sunt  moldovean.......din  pacate.....M-am  nascut in  Iasi,asa  zisa  ''capitala  culturala''  a Romaniei, si ......sunt  nedumerit de ce  este  asa  de  multa  saracie  intr-un  asemenea loc  ,plin  de  stiintza,  si  de  intzelepciune (?)
Oameni ''importantzi''  care  au  invatzat  o  suma  de  poezioare,cele  mai  multe   dintre  el  fara  valoare,m-au  ''educat''......Dupa  patruzeci  de ani  am  descoperit  cu  scarba  ca ''intelectualii'' pe  care-i  respectam  ,sunt .....jalnici. Am  descoperit  ca ''intelectualii''  acestia  au  unic  scop  al  vietzuirii  lor mediocre doar  propria  placere.
Lecturarea unor  cartzi,  ce  sunt  ocultate in  ''ducili  targ  al  Iesilor'', opera  unor  oameni  cu  o  alta viziunea  asupra  vietzii,  m-au  marcat  profund,  si  au  produs  in  fragilul  meu  intelect  o  revolutzie  de mare  amploare.
Michel Bakounine (exemplu 

Dieu et l’État -----

  http://fr.wikisource.org/wiki/Dieu_et_l%E2%80%99%C3%89tat )

  exemplu

RECLUS, Élisée -----

http://sd-32330.dedibox.fr/livre-audio-gratuit-mp3/reclus-elisee-lanarchie.html

  '' L’anarchie n’est point une théorie nouvelle. Le mot lui-même pris dans son acception "absence de gouvernement", de "société sans chefs", est d’origine ancienne et fut employé bien avant Proudhon. D’ailleurs qu’importent les mots ? Il y eut des "acrates" avant les anarchistes, et les acrates n’avaient pas encore imaginé leur nom de formation savante que d’innombrables générations s’étaient succédé. De tout temps il y eu des hommes libres, des contempteurs de la loi, des hommes vivant sans maître de par le droit primordial de leur existence et de leur pensée. Même aux premiers âges nous retrouvons partout des tribus composés d’hommes se gérant à leur guise, sans loi imposée, n’ayant d’autre règle de conduite que leur "vouloir et franc arbitre", pour parler avec Rabelais, et poussés même par leur désir de fonder la "foi profonde" comme les "chevaliers tant preux" et les "dames tant mignonnes" qui s’étaient réunis dans l’abbaye de Thélème.  

Un  al  exemplu ;  Max  Stirner ----

http://sd-32330.dedibox.fr/livre-audio-gratuit-mp3/stirner-max-l-unique-et-sa-propriete.html

 sau   Pierre Kropotkine
  http://fr.wikisource.org/wiki/La_Morale_anarchiste
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  Etienne De La Boetie        Discurs asupra servitutii voluntare
  
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  Sau  un  text ca  acesta;
l'esclavage moderne

LA SERVITUDE MODERNE EST UNE SERVITUDE VOLONTAIRE,
consentie par une foule d' esclaves qui rampe sur la terre.
Ils achètent eux même , toutes les marchandises qui les asservisses toujours un peu plus.
Ils courts eux même derrière un travail toujours plus aliénant, que l'on consent a leur donner si ils sont suffisamment sages.
Ils choisissent eux même les maîtres qu'ils devront servir.
Pour que cette tragédie mêlée d' absurdité puisse se mettre en place, il a fallut d'abord ôter aux membres de cette classe, toute conscience de son exploitation et de son aliénation.
voila l' étrange modernité de notre époque.
Contrairement aux esclaves de l' antiquité, aux cerfs du moyen- âge et aux premiers ouvriers de la révolution industriel, nous sommes aujourd'hui devant une classe totalement asservie , mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veux pas le savoir.
Ils ignorent par conséquent la révolte , qui devrait être la seul réaction légitime des exploités.
Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l'on a choisie pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leurs malheurs.Voila le mauvais rêve des esclaves modernes, qui n' aspirent finalement qu'a se laisser aller, dans la danse macabre du système de l' aliénation.
Chaque parcelle de ce monde est la propriété d'un état ou d'un particulier.
Ce vol social qu'est l' appropriation exclusive du sol, ce trouve matérialisé par l' omniprésence des murs, des barreaux, des clôtures, des barrières et des frontières.Ils sont la trace visible de la séparation qui envahie tout.
Mais parallèlement l'unification de l'espace selon les intérêt de la culture marchande est le grand objectif de notre triste époque. Le monde doit devenir une immense autoroute, rationalisé a l' extrême, pour faciliter le transport de marchandises.Tout obstacle, naturel ou humain, doit être détruit.
L 'habitat dans lequel s' entasse cette masse servile est a l'image de leur vie. Il ressemble a des cages, a des prisons, a des cavernes.mais a la différence des esclaves ou aux prisonniers, l' exploité des temps modernes doit payer sa cage.
C'est dans ce logis étroit et lugubre qu'il entasse les nouvelles marchandises qui devraient, selon les messages publicitaires omniprésents, lui apporter le bonheur et la plénitude. Mais plus il accumule des marchandises, et plus la possibilité d'accéder un jour au bonheur s' éloigne de lui.
La marchandise, idéologique par essence, dépossède de son travail celui qui la produit, et dépossède de sa vie celui qui la consomme.
Dans le système économique dominant, ce n'est plus la demande qui conditionne l'offre, mais belle et bien l'offre qui détermine la demande.
C'est ainsi que de manière périodique, de nouveaux besoins sont crées, qui sont vite considérer comme des besoins vitaux, par l' immense majorité de la population.
Ce fut d'abord la radio, la voiture, puis la télévision , l'ordinateur et maintenant, le téléphone portable.
Toutes ces marchandises, distribuées massivement en un laps de temps très limité, modifient en profondeur les relations humaines.Elles servent d'une part: a isoler les homme un peu plus de leurs semblables,et d'autre part: a diffuser les messages dominants du système.
Les choses qu'on possède, finissent par nous posséder.
Mais c'est encore quand il s' alimente que l'esclave moderne, illustre le mieux l'état de décrépitude dans lequel il se trouve.
Disposant d'un temps toujours plus limiter pour préparer la nourriture qu'il ingurgite, il en est réduit a consommer a la va vite , ce que l'industrie agro-chimique produit.
Il erre dans les supermarchés, a la recherche des ersatz que la société de la fausse abondance, consent a lui donner. la encore, il n'a plus que l' illusion du choix.
L' abondance des produits alimentaires ne dissimule que leur dégradation et leur falsification.
Il ne s'agit que bien notoirement, que d' organisme génétiquement modifié, un mélange de colorants et de conservateurs, de pesticides, d' hormones et autres inventions de la modernité.
Le plaisir immédiat , est la règle du mode d'alimentation dominant, de même qu'il est la règle de toute les formes de consommation.
Et les conséquences sont la,qui illustrent cette manière de s' alimenter.
Mais c'est face au dénouement du plus grand nombre, que l'homme occidental se réjouit de sa position et de sa consommation frénétique. Pourtant, la misère est partout ou règne le système totalitaire marchand. Le manque est le revers de la médaille de la fausse abondance.
Et dans un système qui affiche l' inégalité comme critère de progrès, même si la production agro-chimique est suffisante pour nourrir la totalité de la population mondial, la faim ne devra jamais disparaître.
L'autre conséquence de la fausse abondance alimentaire, est la généralisation des usines concentrationnaires et l' extermination barbare des espèces qui servent a nourrir les esclaves.
la ; se trouve l'essence même du mode de production dominant. la vie et l'humanité, ne résistent pas a l'envie de profit de quelques uns.
Le pillage des ressources de la planète, l' abondante production d' énergie ou de marchandise,les rejets et autres déchets de la consommation ostentatoire, hypothèque gravement les chances de survie de notre terre, et des espèces qui la peuplent. Mais pour laisser libre cours au capitalisme sauvage, la croissance ne doit jamais s'arrêter. Il faut produire, produire, et reproduire encore.
Et ce sont les même pollueurs qui se présentent aujourd'hui, comme les sauveurs potentiels de la planète.
Ces imbéciles du show business, subventionnés par les firmes multinationales, essayent de nous convaincre qu'un changement de nos habitudes de vie suffirait a sauver la planète du désastre.
Et pendant qu'il nous culpabilisent, ils continuent a polluer notre environnement et notre esprit.
Ces pauvres thèses pseudo écologiques, sont reprisent en coeur par tous les politiciens véreux, a court de slogans publicitaires.
Mais ils se gardent bien de proposer un changement radical dans le système de production.
Il s'agit comme toujours, de changer quelques détails, pour que tout reste comme avant.
Travail, du latin tri palium "trois pieux" instrument de torture.
Mais pour rentrer dans la ronde de la consommation frénétique, il faut de l' argent.
Et pour avoir de l' argent, il faut travailler.C'est a dire ce vendre.
Le système dominant a fait du travail sa principale valeur, les esclaves doivent travailler toujours plus, pour payer a crédit leurs vie misérable.Ils s' épuisent dans le travail. Perdent la plus grande part de leur force vitale et subissent les pires humiliations.
Ils passent toutes leur vie dans une activité fatigante et ennuyeuse, pour le profit de quelques-uns.
L' invention du chômage moderne est la pour les effrayer, et les faire remercier sans cesse le pouvoir, de se montrer généreux avec eux. Que pourraient ils bien faire sans cette torture qu'est le travail? et ce sont ces activités aliénantes que l'on considère comme une libération.
Quel déchéance et quel misère.
Toujours plus presser par le chronomètre que par le fouet, chaque gestes des esclaves est étudié a fin d 'augmenter la productivité. L'organisation scientifique du travail, constitue l'essence même de la dépossession du travailleur. A la foi du fruit de leurs travail et au temps qu'il passe a la production automatique des marchandises ou des services.
Le rôle du travailleur ce confond avec celui d'une machine dans les usines.Avec celui d'un ordinateur dans les bureaux.
Le temps perdu ne reviens plus.
Ainsi, chaque travailleurs est atteler a une tache précise, quelle soit intellectuel ou physique.
Il est spécialiste dans sont domaine de production. Cette spécialisation ce retrouve a l'échelle de la planète, dans le cadre de la division international du travail. On conçoit en occident, on produit en Asie, et on meurt en Afrique.
L' esclave moderne aurai put ce contenter de sa servitude au travail, mais a mesure que le système de production colonise tous les secteurs de la vie, le dominer perd sont temps dans les loisirs, les divertissement, et les vacances organiser. Aucun moment de sa vie n' échappent a l' emprise du système. Chaque instant de sa vie a été envahie. C'est un esclave a temps plein.
La dégradation généraliser de son environnement, de l'aire qu'il respire et de la nourriture qu'il consomme, le stress de s'est conditions de travail, et de l'ensemble de sa vie social, sont a l'origine des nouvelles maladies de l'esclave moderne. Il est malade de sa condition servile.
Aucune médecine ne pourra jamais remédier a se mal. Seul la libération la plus complète de la condition dans lequel il se trouve enfermer, peut permettre a l'esclave moderne de se libérer de s'est souffrances.
La médecine occidental ne connais qu'un remède face au mot de l'esclave moderne. la mutilation.
C'est a base de chirurgie, d' antibiotique et de chimiothérapie, que l'on traite les patients de la médecine marchande. On s' attaque au conséquence du mal, sans jamais en chercher la cause.
Cela ce comprend autant que cela s'explique. Cette recherche nous conduirait inévitablement, vert une condamnation sens appel de l'organisation social dans son ensemble.
De même qu'il a transformer tout les détails de notre monde en marchandise, le système présent, a fais de notre corps une marchandise. Un objet d' étude et d' expérience, livrer aux apprenti sorcier de la médecine marchande, et de la biologie moléculaire.
Et les maîtres du monde sont déjà prêts a breveter le vivant.
Le séquençage complet de l' adn du génome humain, est le point de départ d'une nouvelle stratégie mis en place par le pouvoir. Le décodage génétique, n'a d'autre but que d' amplifier considérablement les formes de dominations et de contrôles.
Notre corps lui aussi, après temps d'autre choses, nous a échapper.
Le meilleur de sa vie lui échappe, mais il continue, car il a l' habitude d' obéir depuis toujours.
L' obéissance est devenu sa seconde nature. Il obéi sans savoir pourquoi. Simplement parce qu'il sait qu'il doit obéir. Obéir, produire et consommer, voila le triptyque qui domine sa vie.
Il obéit a s'est parents, a s'est professeurs, a s'est patrons, a s'est propriétaires, a s'est marchands.
Il obéit a la loi et aux forces de l'ordre, il obéit a tous les pouvoirs car il ne sait rien faire d'autre.
La désobéissance l' effraie plus que tout, car la désobéissance sait le risque, l' aventure, le changement. Mais de même que l'enfant panique lorsqu'il perd de vue s'est parents, l'esclave moderne est perdu, sans le pouvoir qui la crée.Alors il continu d' obéir.
C'est la peur qui a fais de nous des esclaves, et qui nous maintien dans cette condition.
Nous nous courbons devant les maîtres du monde, et leurs polices, nous acceptons cette vie d' humiliation et de misère, par crainte.
Nous disposons pourtant de la force du nombre face a cette minorité qui gouverne. Leur force a eux, il ne la retire pas de leur police, mais bien de notre consentement.
Nous justifions notre lâcheté devant l' affrontement légitime contre les forces qui nous opprimes, par un discourt plein d' humanisme moralisateur. Le refus de la violence révolutionnaire, est encrer dans les esprits de ceux qui s' opposent au système, au nom des valeurs que ce système nous a lui même enseigner.
Mais le pouvoir lui, n' hésite jamais a utiliser la violence, quand il s'agit de conserver son hégémonie.
Pourtant, il y a encore des individus qui échappent au contrôle des consciences. Mais il sont sous surveillance. Toutes formes de rebellions, résistances, est de fait assimiler comme une activité déviante ou terroriste.
La liberté n'existe que pour ceux qui défende les impératifs marchand.L' opposition réel au système dominant, est désormais totalement clandestine.Pour c'est opposant, la répression est la règle en usage.
Et le silence de la majorité des esclaves, face a cette répression, trouve sa justification dans l' inspiration médiatique et politique, a nier le conflit qui existe dans la société réel.
Comme tous les êtres opprimer de l' histoire, l'esclave moderne a besoin de sa mystique et de son dieu, pour anesthésier le mal qui le tourmente, et la souffrance qui l' accable.
Et se nouveau dieu, auquel il a livre son âme, n'est rien d'autre que le néant, un bout de papier, un numéro qui n'a de sens que parce-que tout le monde a décider de lui en donner.C'est pour ce nouveau dieu qu'il étudie, qu'il travail, et qu'il ce vend.
C'est pour ce nouveau dieu qu'il a abandonner toute valeur, et qu'il est prêt a faire n'importe quoi.
Il crois qu'en possédant beaucoup d'argent, il se libérera des contrainte dans lesquels il se trouve enfermer.Comme si la possession allait de paire avec la liberté.
La libération est une assèze qui proviens de la maîtrise de soi.
Elle est un désir et une volonté en acte.
Elle est dans l'être et non dans l' avoir.
Mais encore faut il être résolut a ne plus servir, a ne plus obéir. Encore faut il être capable de rompre avec une habitude que personnes, semble t 'il, n' ose remettre en cause.
Hors, l' esclave moderne est persuader qu'il n'existe pas d'autre alternative a l'organisation du monde présent. Il s'est résigner a cette vie, car il pense qu'il ne peut y en avoir d'autre.
Et c'est bien la que ce trouve la force de la domination présente: Entretenir l' illusion que se système, qui a coloniser toute la surface de la terre, est la fin de l'histoire.
Il a fais croire a la classe dominer, que s'adapter a son idéologie, revient a s'adapter au monde tel qu'il est. Et tel qu'il a toujours été. Rêvé d'un autre monde est devenu un crime, condamnée unanimement par tout les médias, et tout les pouvoirs.
Le criminel est en vérité celui qui contribues, consciemment ou non, a la démence de l'organisation social dominante.
Il n'est pas de folie plus grande, que celle du système présent.
Devant la désolation du monde réel, il s'agit pour le système de coloniser l'ensemble de la conscience des esclaves.C'est ainsi que dans le système dominant, les force de répression laisse progressivement place, a la dissuasion, qui des la plus petite enfance, accomplis son oeuvre de formation des esclaves. Ils doivent oublier leur condition servile.
Leur prison est leur vie misérable. Il suffi de voir cette foule hypnotique, connecter devant tout les écrans qui accompagne leur vie quotidienne.Ils trompe leur insatisfaction permanente, dans le reflet manipuler d'une vie rêver, faite d'argent, de gloire, et d' aventure.
Mais leur rêve sont tout aussi affligent que leur vie misérable.
Il existe des images pour tous et partout. Elles portent en elles le message idéologique de la société moderne, et servent d' instrument d' unification et de propagande. Elles croissent a mesure que l'homme est dépossédé de son monde, et de sa vie.
C'est l'enfant, qui est la cible première de c'est images. Car il s'agit d' étouffer la liberté dans son berceau. Il faut les rendre stupide, et leur ôter toute forme de réflections et de critiques.
tout cela se fais bien entendu, avec la complicité déconcertante de leur parents. Qui ne cherche même plus a résister, face a la force de frappe cumuler de tout les moyens moderne de communication.
Ils achètent eux même toutes les marchandises, nécessaire a l'asservissement de leur progéniture. Ils ce dépossèdent de l'éducation de leur enfants, et la livrent en bloque, au système de l' abrutissement et de la médiocrité.
Il y a des images pour tous les âges et toutes les classes social. Et les esclaves moderne confondent ces images avec la culture, et parfois même avec l'art.
On fait appel aux instincts les plus sordides, pour écouler les stocks de marchandises. Et s'est encore la femme, doublement esclave, dans la société présente, qui en paye le pris fort.Elle en est réduit a être un simple objet de consommation.
La révolte elle même, est devenu une image que l'on vend, pour mieux en détruire le potentiel subversif.
L'image est au jour d' aujourd'hui, la forme de communication la plus simple et la plus efficace. On construit des modèles, on abruti les masses, on leur ment, on crée des frustrations. On diffuse l' idéologie marchande par l'image, car il s'agit encore et toujours du même objectif: Vendre.
Des mode de vie ou des produit, des comportements ou des marchandises, peu importe mais il faut vendre.
Ces pauvres hommes ce divertissent. Mais le divertissement n'est la que pour faire diversion, face au véritable mal qui les accable. Ils ont laisser faire de leur vie n' importe quoi, et il feigne d'en être fier.Ils essaient de montré leur satisfaction, mais personne n'est dupe. Ils n'arrive même plus a ce tromper eux même, lorsqu'il se retrouve face au reflet glacer du miroir.
Ainsi, il perde leur temps devant des imbéciles sensé les faire rires ou les faire chanter, les faire rêvé ou bien pleuré. On mime a travers le sport médiatique, les succès et les échecs, les forces et les victoires que les esclaves moderne ont cesser de vivre dans leur vie propre au quotidien.Leur insatisfaction les incitent a vivre par procuration, devant leur poste de télévision.
On dit que les empereurs de la rome-antique, achetai la soumission du peuple avec des jeux et du pain. Aujourd'hui c'est avec les divertissement et la consommation du vide, que l'on achète le silence des esclaves.
La domination sur les consciences, passe essentiellement par l'utilisation vissiez du langage par la classe économiquement et socialement dominante.Étant détenteur de l'ensemble des moyens de communication, le pouvoir diffuse l' idéologie marchande, par la définition figer, partiel et partial, qu'il donne des mots.
Les mots sont présenter comme neutres, et leur définition comme allant de soi.Mais sous le contrôle du pouvoir, le langage désigne toujours autre chose que la vie réel.
C'est avant tout un langage de la résignation et de l' impuissance. Le langage de l'acceptation passive des choses tel qu' elles sont, et tel qu' elle doivent demeurer.Les mots travail pour le compte de l'organisation mondial de la vie, et le fait même d'utiliser le langage du pouvoir, nous condamnent a l' impuissance.
Le problème du langage est au centre du combat pour l' émancipation humaine. Il n'est pas une forme de domination qui se surajoute au autres. Il est le coeur même du projet d' asservissement, du système totalitaire marchand.C'est par la réappropriation du langage, et donc de la communication réel entre les personnes, que la possibilité d'un changement radical
émerge de nouveau.C'est en cela que le projet révolutionnaire, rejoint le projet poétique.
Dans l' effervescence populaire, la parole est prise et réinventer par les groupes étendues.
La spontanéité créatrice s' empare de chacun, et nous rassemble tous.
pourtant, les esclave moderne se pensent toujours citoyens. Ils croient voter et décider librement, qui doit tenir leurs affaires. Comme si ils avaient encore le choix.
Ils n'en ont conservé que l' illusion.
Croyez vous encore qu'il existe une différence fondamental, quant au choix de société dans laquelle nous voulons vivre?
entre le PS et l'UMP en France, entre les démocrates et les républicain au état-unis, entre les travaillistes et les conservateurs au royaume-uni.
Il n'existe pas de réel opposition, car les partis politiques dominants sont d' accord sur l'essentiel, qui est la préservation de la présente société marchande. Il n'existe pas de parti politique,susceptible d'arriver au pouvoir, qui remette en cause le dogme du marcher. Et ce sont c'est partis qui avec la complicité médiatique, monopolise l' apparence. Ils se chamaillent sur des points de détail pourvu que tout reste en place. Ils ce disputent pour savoir qui prendra les places que leur offre le parlementarisme marchand.Ces pauvres chamailleries sont relayer par tout les médiats, dans le but d' occulter un véritable débat sur un choix de société dans laquelle nous aimerions vivre. L' apparence et la futilité, domine sur la profondeur de l' affrontement des idées.
Tout cela ne ressemble en rien , de prêt ou de loin , a une démocratie.
La démocratie réel ce défini d'abord, et avant tout, par la participation massive des citoyens a la gestion des affaires de la citée.Elle est direct et participative
Elle trouve son expression la plus authentique, dans l' assembler populaire, et le dialogue permanent sur l'organisation de la vie en commun.
La forme représentative des parlementaires, qui usurpe le nom de démocratie, limite le pouvoir des citoyens au simple droit de vote. c'est a dire au néant, tant il est clair que le choix entre gris clair et gris foncé, n'est pas un choix véritable.
Les sièges parlementaire, sont occuper dans leur immense majorité, par la classe économiquement dominante. Quel soit de droite, ou de la prétendu gauche social démocrate.
Le pouvoir n'est pas a conquérir, il est a détruire.
Il est tyrannique par nature, qu'il soit exercer par un roi, un dictateur ou un président élu.
La seul différence, dans le cas de la démocratie parlementaire, c'est que les esclaves on l' illusion de choisir eux même, le maître qu'ils devrons servir.
Le vote a fais d' eux les complices de la tyrannie qui les opprimes.
Ils ne sont pas esclaves parce qu'il existe des maîtres, mais il existe des maîtres parce qu'ils ont choisi de demeurer esclave.
Le système dominant, se définit donc par l' omniprésence de son économie marchande.Elle occupe a la foi, tout l'espace, et tout les secteur de la vie. Elle ne dit rien de plus que : produisez, vendez, consommez, accumulez.
Elle a réduit l'ensemble des rapports humains, a des rapports marchands, et considère notre planète comme une simple marchandise. Le devoir qu'elle nous impose, est le travail servile, le seul droit quel reconnais, est le droit a la propriété priver, le seul dieu qu'elle arbore, est l' argent.
Le monopole de l' apparence est total. Seul paraissent les hommes et les discours, favorables, a l' idéologie dominante. La critique de ce monde est noyer dans le flot médiatique, qui détermine ce qui est bien, et ce qui est mal. Ce que l'on peu voir, et ce que l'on ne peu pas voir.
Omniprésence de l' idéologie, culte de l' argent, monopole de l' apparence, partie unique sous couvert de pluralisme parlementaire, absence d'une opposition visible, répression sous toutes c'est formes, volonté de transformer l'homme, et le monde.
Voila le réel visage du totalitarisme moderne que l'on appel démocratie libéral, et qu'il faut maintenant appeler par son nom véritable: LE SYSTEM TOTALITAIRE MARCHAND.
L'homme, la société, et l'ensemble de notre planète, sont au service de cette idéologie, le STM a donc fais ce qu'aucun totalitarisme n'avais pu faire avant lui: Unifier le monde a son image.
aujourd'hui, il n'y a plus d' exile possible.

nobody

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le texte peut être librement reproduit, partiellement ou en totalité. la lutte contre la propriété privé, intellectuelle ou autre, est notre force de frappe contre la domination présente.
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''Intelectualii''   au ales placerile  lui  Epicur, mie  mi-au  ramas scrupulele.


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