sâmbătă, 1 octombrie 2011

Incognito p2 audio

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Trebuie  facute  cateva  conexiuni  cu  unele invatzaturi  antice pentru  a  intzelege  mesajul  .
Este  vorba  despre  ZEI  si despre  (re)dobandirea LIBERTATII.
Demeter si  fica  sa Kore  Persepfone (Marina Darvari  se  identifica  cu Persepfone---sau   Isis)
Ieronim  are mai multe  fatzete----Asclepios,  Osiris  (atunci  cand  invatza  sa  vada  FRUMOSUL...DIVINUL,  in  orice  lucru----chiar  si  in  pete  de igrasie  sau  improscaturi  cu  noroi---atunci  cand  reuseste  sa se  lepede  de  egregor  si  sa  (re)capete  ''ATRIBUTELE  SOLARE'')...si  Iisus (ori Bodhisattva)

5 comentarii:

  1. Teleman Dan dThelema1 iunie 2013, 11:16

    Petele...petele de pe zid...ne arata ca zidul '' inchisorii colective''..s-a degradat, s-a fisurat...si e pe cale sa se prabuseasca.
    Sau....petecele din pelerina lui Zevedei (nuvela PELERINA), ne arat ca uniformele gardienilor ce pazesc robii din ''inchisoarea colectiva ''....se desira,,,se degradeaza din ce in ce mai mult.....si ca vor ramane in curul gol---adica fara autoritate. Costumul lor ,care inspira atat teroare, costumul de paznic, de militian,de soldat...etc...etc...este pe cale sa dispara.
    .
    TEROAREA ISTORIEI A FOST MENTINUT DE NISTE HAINE (vesminte...haine ) ! ! !
    In teatrul acesta umilitor si scarbos....costumul actorilor a fost cel mai important.....Nevinovatele frunze pe care le-au lipit de pubisuri Adam si Eva...au evoluat ,in istorie, au devenit costume, si astfel ....cele mai eficiente unelte de infricosare .
    .

    Si tot odata,aceste costume ale minciunii, aceste uniforme, au ocultat, au ascuns COMORILE.
    Hmmm!...pentru unii comoara inseamna ;aur si valute...pentru altii diplome si puteri politice.
    .....
    Pentru altii '' comoara' inseamna altceva.

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    1. 1 iunie 2013, 10:52

      Sa revenim la comori sl la nuvela ''INCOGNITO LA BUCHENWALD ''
      .
      -...'' Va tot intrebati de ce ne-a cerut ea sa privim petele astea ?
      - Nu ne-a cerut, o intrerupse ieronim. Ne-a spus doar atat ;ca daca am sti CUM sa privimpetele acestea...
      - Cum sa le privim si sa INTELEGEM , completa Fagadau.
      -Petele acestea decolorate de Soare si adancite de umezeala...
      - A spus altfel; ;;SENSIBILIZATE'' de umezeala...
      .....
      -Decolorate de Soare si de igrasie , repeta visator Lorintz. Atunci am inteles. Asta a vrut sa spuna ; aveti aici modelul exemplar al uniunii contrariilor , umezeala si soare, adica Apa si Focul....
      -Ar fi fost prea banal . Trebuie sa fie altceva.
      - Am citit odata o poveste cu un rabin din Cracovia, care visa mereu o comoara, incepu Fagadau.
      - O stie toata lumea , il intrerupse Ieronim. Se dusese s-o caute , nu mai stiu unde, poate la Varsovia , si pana la urma descopera comoara chiar la el acasa , sub cenusa caminului...''
      .
      Mmmm!...bine-ar fi ca rabinii sa-si caute comorile la ei acasa.
      Din pacate sunt prea multi rabini care scotocesc in vatra noastra.Si cu siguranta o sa gaseasca sub cenusa ...jaratec.
      O sa gaseasca ''JARATECUL SFANT'' al Tripura Bhairavi „femeia războinică”....si mai mult chiar....al lui Rudra. Si asta ca povestea holocaustului sa devina REALITATE.

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    2. In nuvela ''INCOGNITO LA BUCHENWALD '' sunt camuflate intamplari reale.
      Spre exemplu personajul Fagadau care a trecut si el pe la Buchenwald....si ...curios...n-a fost gazat ,si carbonizat...ci a revenit in tara.
      Se poate asa ceva ?
      Intr-un articol excelent,prin simplitatea lui, Maurizio Cabona reda o intalnire cu Horia Sima.
      ''Entretien avec Horia Sima''----- http://www.voxnr.com/cc/d_pays_est/EkVEEEAppEAFyJxAXa.shtml -----
      .
      Iata ce se spune la un moment dat;
      ---Quelle a été votre condition politique en Allemagne pendant ce « séjour forcé » ?
      ---Pendant les deux premières années (1941-1942) nous avons eu un statut de confinement, c’est-à-dire de domicile forcé : les cadres dirigeants et les anciens ministres à Berkenbrück, près de Berlin ; la masse des réfugiés légionnaires à Rostock. Toute activité politique et tout rapport avec la Roumanie nous ont été interdits, sous menace d’extradition.

      De Janvier 1943 et jusqu’à la capitulation de la Roumanie le 23 Août 1944, nous avons été internés dans des camps de concentration : moi, à Oranienburg — les chefs légionnaires et les anciens ministres à Dachau — la masse des légionnaires à Buchenwald.
      .
      Traduc doar atat.....Din Ianuarie 1943 si pana la capitularea Romaniei, la 23 Aug.'44,am fost ''internati'' in lagare de concentrare ; eu la Oranienburg - sefii legionari si fostii ministri la Dachau-iar masa legionarilor la Buchenwald.
      Ce destin tragic au avut legionarii !
      Cei care au ramas in tara, adica in puscariile romanesti sau.....''

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    3. ......''

      Qu’est-il arrivé aux légionnaires restés en Roumanie sous la dictature d’Antonescu ?

      Tous ceux qui se sont opposés au coup d’État du général Antonescu de janvier 1941, ont été déclarés rebelles, arrêtés et envoyés devant les tribunaux militaires. Certains ont été condamnés à mort et fusillés, tandis que la grande majorité ont reçu des peines de prisons allant de cinq à vingt-cinq ans d’emprisonnement. De fait, ces tribunaux ne jugeaient pas. Ils appliquaient le quantum de peine fixé par anticipation par la présidence du Conseil sur le dossier de chaque détenu. Après un simulacre de procès, on lisait la sentence donnée par le gouvernement. La justice avait été évincée de sa fonction.

      Lorsque la Roumanie est entrée en guerre, certains des condamnés ont été « graciés » et envoyés au front pour « réhabilitation ». En réalité cette « réhabilitation » ne pouvait être obtenue que par la mort. Les commandants des régiments avaient reçu l’ordre d’employer les légionnaires pour les missions les plus dangereuses et cela d’une manière permanente jusqu’à ce que « la mort les élimine ».

      Tous les légionnaires officiers ou gradés de l’armée avaient été préalablement dégradés ; ils n’avaient pas droit aux permissions réglementaires et ne pouvaient être évacués du front qu’en cas de blessures graves. Ils ne pouvaient recevoir aucune décoration, même s’ils avaient accompli des actes de bravoure extraordinaires. De plus, ils devaient être constamment gardés sous surveillance. Aucune « réhabilitation » n’a été prononcée par les autorités militaires avant que la famille du légionnaire n’ait reçu l’acte annonçant son décès.

      Le général Antonescu a employé la forme la plus odieuse pour liquider ses adversaires : la guerre. Il connaissait, bien entendu, les sentiments des légionnaires, leur patriotisme ardent, leur désir de lutter sur le front contre les communistes. C’était, au fond, leur guerre à eux, pour laquelle ils avaient été préparés dans la Légion pendant des années. Et voilà, maintenant, que cet homme, ce général, devenu chef de l’État, hissé au pouvoir sur les tombes des légionnaires, qui savait bien que ceux-ci ne pouvaient pas déserter et ne pouvait pas ne pas faire leur devoir, transformait la guerre sacrée de la Légion en une guillotine pour ses membres !…

      Plus tard, les légionnaires « graciés » ont été concentrés dans des bataillons spéciaux, appelé « Bataillons de Sarata (d’après la localité où ils étaient instruits), où, pour les humilier encore plus, Antonescu a donné l’ordre qu’ils soient mélangés avec les détenus de droit commun et les déserteurs remis au service. Ces unités, dîtes disciplinaires ou « de punition », étaient envoyées, à mesure qu’elles se constituaient, dans les zones les plus dangereuses du front, où elles étaient décimées peu à peu. De cette manière, des dizaines de milliers de légionnaires sont tombés, poursuivis par la haine féroce du général Antonescu. Certains d’entre eux, qui revenaient cependant indemnes de toutes ces missions de sacrifice, ont été fusillés à l’arrière pour que l’ordre de la « réhabilitation des légionnaires après leur mort » soit entièrement respectée…

      Pour l’honneur de l’armée roumaine, il y a eu aussi des officiers commandant des unités sur le front qui n’ont pas accepté de s’associer à ces crimes ; certains ont même défendu les légionnaires. C’est grâce à ces officiers qu’une partie des légionnaires ont survécu. Cependant, la majorité d’entre eux ont laissé leur os dans les steppes de la Russie.''
      http://www.voxnr.com/cc/d_pays_est/EkVEEEAppEAFyJxAXa.shtml

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