Marturisesc ca sunt un pic voltaire-an.Imi place Voltaire,chiar daca uneori cauta ''nodul in papura '',cum se spune pe la noi.E carcotas,dar obiectiv,iar critica lui pertinenta.
Bine ,bine, dar de ce François Rabelais si Ion Creanga ?
Pentru ca am fost inspirat de o schita a lui Voltaire, ce se numeste ;
Lucien, Érasme et Rabelais
Aici Voltaire,isi imagineaza o intalnire ,dincolo de timp si spatiu,intre trei oameni de geniu care au indraznit sa critice sistemele religioase,si falsele religii oficiale.
Pot sa construiesc si eu astfel de scenarii,pot sa alatur gandire lui Rabelais, cu cea a lui Ion Creanga, fireste doar din anumita perspectiva.Amandoi au fost clerici.,,,,, al nostru Ion Creanga, doar diacon.Au scris, si au publicat.Au ras de moravurile preotesti din timpurile lor.
'' LUCIEN, à Rabelais. — Avais-tu fait, comme Érasme, vœu de vivre aux dépens d’autrui ?
RABELAIS. — Doublement : car j’étais prêtre et médecin. J’étais né fort sage, je devins aussi savant qu’Érasme ; et voyant que la sagesse et la science ne menaient communément qu’à l’hôpital ou au gibet ; voyant même que ce demi-plaisant d’Érasme était quelquefois persécuté, je m’avisai d’être plus fou que tous mes compatriotes ensemble ; je composai un gros livre de contes à dormir debout, rempli d’ordures, dans lequel je tournai en ridicule toutes les superstitions, toutes les cérémonies, tout ce qu’on révérait dans mon pays, toutes les conditions, depuis celle de roi et de grand pontife jusqu’à celle de docteur en théologie, qui est la dernière de toutes : je dédiai mon livre à un cardinal, et je fis rire jusqu’à ceux qui me méprisaient...............
LUCIEN. — Ah ! que vous l’emportez sur nous en démence ! Les fables
de Jupiter, de Neptune et de Pluton, dont je me suis tant moqué, étaient
des choses respectables en comparaison des sottises dont votre monde a
été infatué. Je ne saurais comprendre comment vous avez pu parvenir à
tourner en ridicule avec sécurité des gens qui devaient craindre le
ridicule encore plus qu’une conspiration.
Car enfin on ne se moque pas de ses maîtres impunément : et j’ai été
assez sage pour ne pas dire un seul mot des empereurs romains. Quoi !
votre nation adorait un papegaut ! Vous donniez à ce papegaut tous les
ridicules imaginables, et votre nation le souffrait ! Elle était donc
bien patiente ?
RABELAIS. — Il faut que je vous apprenne ce que c’était que ma nation. C’était un composé d’ignorance, de superstition, de bêtise, de cruauté et de plaisanterie. On commença par faire pendre et par faire cuire tous ceux qui parlaient sérieusement contre les papegauts et les cardinaux. Le pays des Welches, dont je suis natif, nagea dans le sang ; mais, dès que ces exécutions étaient faites, la nation se mettait à danser, à chanter, à faire l’amour, à boire et à rire. Je pris mes compatriotes par leur faible ; je parlai de boire, je dis des ordures, et avec ce secret tout me fut permis. Les gens d’esprit y entendirent finesse, et m’en surent gré ; les gens grossiers ne virent que les ordures, et les savourèrent : tout le monde m’aima, loin de me persécuter.''
Ion Creanga a scris ''Povestea povestilor'' ( http://zvonsully.home.ro/Comentarii/Povestea%20pulii.html) Ionica cel prost ( http://www.mitza.net/lyrics/?w=lyrics&s=artist&q=24)...si uneori versuri
Ma intreb;Poate ca povestea ''Capra cu trei iezi'' are un anume talc, cu rezonante religioase?
Lupul din poveste, poate fi ......urmasul Romei (Hmmm...imperiului ,al lui Romulus, cel hranit de lupoaica).
Lupul din poveste devoreaza doi dintre iezii caprei (curios ca Ion Creanga nu ne spune nimic despre tap, sotul caprei), si ca un adevarat inchizitor,manjeste cu sangele iezilor peretii caseii unde traiau ,in liniste, o familie de ierbivore.
Iedul cel mic se salveaza ascunzndu-se in cuptor. (poate ca acest cuptor e un soi de pestera, de mormant, din care iedul cel mic RENASTE...... revine la viata pentru a razbuna moartea fratilor sai.
In finalul povestii ''Maica iedului'' ,impreuna cu singurul ei fiu intinde o capcana lupului si-l arunca in groapa cu jaratic.
Asa sa pateasca toti lupii ! Amin !
In Harap Alb,(poate arab alb),se intrezareste o chestiune geopolitica. E vorba acolo de un imparat rosu (poate bolsevic), si unul verde (verde ca dolarul ?.....in fine ...un capitalist occidental )
Poate ca in ''Ocaua lui Cuza'', sau in '' Mos Ion Roata si unirea'', se vad primele efecte ale lojelor masonice ,care incep a se dezvolta in Moldova.?
Ha...ha...ha......Retorica......retorica.......
OF!...ce multe am de spus !!!!....dar degeaba....n-are rost sa mai continui.......TRAIASCA EPOCACAPITALIPSA ! si cu asta basta.
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