duminică, 8 ianuarie 2012

Jurnalisti cupizi desfranati....

...lingand laba ''puterii''....
   In 1932, Paul Nizan a publicat  Les Chiens de garde, demascand jurnalistii vandutzi guvernelor.
Recent apare  in  Frantza  o  alta  carte  pe  o tema  asemanatoare  ;   Les Nouveaux chiens de garde.....Intre  dulaii  de  ieri  si  cei  de  azi nu  sunt  diferente.
      .....nu  sunt  diferentze  ...doar  culoarea  blanii  se schimba uneori.
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  http://www.suivi-soleil.com/article-les-nouveaux-chiens-de-garde-96305340.html
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Les médias se proclament « contre-pouvoir ». Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations prémâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur.
En 1932, Paul Nizan publiait Les Chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en gardiens de l’ordre établi.
 Aujourd’hui, les chiens de garde, ce sont ces journalistes, éditorialistes et experts médiatiques devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, Les Nouveaux chiens de garde dressent l’état des lieux d’une presse volontiers oublieuse des valeurs de pluralisme, d’indépendance et d’objectivité qu’elle prétend incarner. Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d’une information pervertie en marchandise.
 
 

Gilles Balbastre et Yannick Kergoat

Serge Halimi a publié Les Nouveaux chiens de garde en 1997, au sortir des grèves de décembre 1995. Le poids des « prescripteurs d’opinions » a-t-il évolué depuis ?....''
....''Les « nouveaux chiens de garde » n’ont pas de frontières.''
  Dulai  fara  frontiere.....
  
Lors de la sortie du livre de Serge Halimi, le quotidien britannique The Guardian s’étonnait du degré de connivence entre journalistes et responsables politiques français. S’agit-il d’un mal typiquement hexagonal ?


Y. G. : On est compétent pour analyser le contexte français, pas pour établir des comparaisons avec le reste du monde. Cela étant, l’affaire Murdoch est venue rappeler récemment que les pays anglo-saxons, malgré une presse a priori plus solide que la nôtre, ne sont pas à l’abri des connivences et des conflits d’intérêts. Les « nouveaux chiens de garde » n’ont pas de frontières.
G. B. : Aux États-Unis, les journalistes entretiennent certes des rapports moins connivents avec la sphère politique, mais ça ne les empêche pas d’avoir une grande proximité avec des idées politiques orientées. Dans son livre Les Nouveaux chiens de garde, Serge Halimi rappelle que la majorité des journalistes américains vivaient jusque dans les années 1960 dans les mêmes quartiers que la classe ouvrière. Aujourd’hui, alors que des milliers d’entre eux gagnent plus de 100 000 dollars par an, leur vie quotidienne, écrit-il, « les rend beaucoup plus sensibles aux problèmes des privilégiés qu’au sort des travailleurs payés au salaire minimum ». La même analyse vaut aussi pour la France.

SI   INTERNETUL  ? !

Internet peut-il changer la donne ?


Y. G. : On n’a pas suffisamment de recul pour pouvoir en juger, mais la neutralité du net est loin d’être assurée. Qui peut prédire que le réseau ne passera pas sous la coupe des groupes dominants ? On entend souvent dire : les médias sont corrompus, laissons tomber et replions-nous sur l’Internet. Ce serait notre unique planche de salut. Je pense que c’est une erreur. Quel est le site d’infos le plus consulté sur le web ? Celui de TF1. Mediapart n’arrive qu’en 26 ou 27e position… La hiérarchie des médias traditionnels se retrouve sur Internet. Par ailleurs, la télévision reste encore pour une large majorité de Français la principale source d’informations. Il n’est donc pas question de renoncer à l’exigence d’une télévision pluraliste et indépendante. Oui, il faut créer des médias alternatifs, c’est évident, mais pas au prix d’une désertion du terrain des médias dominants.
G. B. : La presse écrite aussi continue de jouer un rôle important. Le Parisien, par exemple, est excessivement lu par les journalistes qui fabriquent l’info radio-télé. Internet a certes élargi l’offre, mais sans profiter réellement aux classes sociales défavorisées, pour lesquelles la télévision et la presse quotidienne régionale (PQR) restent les principaux moyens d’information.''
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  In  Romania care  sa  fie  oare  situatzia  ? 
    
      
      

Un comentariu:

  1. Dulaii din menajeria elitei...dar sa amintim si de turma...de batali....adica berbecii fara oaie.
    http://mistermatematic.blogspot.ro/2013/03/bataliiberbecii-fara-oaie.html
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    ---Coabitarea, relatia berbec-oaie ,in turmele moderne, fie comuniste, sau capitaliste....tinde sa dispara. Exista un program initiat de ''macelari'' (adica proprietarii de turme), de efeminare....vai !, nu-i cuvantul potrivit aici,... trebuie spus OVINIZARE, sau si mai clar ; BATALIZARE. ....''
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    .Trebuie facuta legatura cu o poveste mai veche ; ''REVOLTA BATALILOR'', o poveste care ,la timpul ei, a starnit atentia ''chinocefalilor internetului '',adica a supraveghetorilor de sit,care au fost interesati sa afle de ce m-am caracterizat ca fiind un ''macelar nebun'' (poate ca citind comentariile la PARADOX ORTOSDOX au descoperit unul din motive...poate...poate...)----
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    http://mistermatematic.blogspot.ro/2011/03/revolta-batalilor.html

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